ENFANTS PLACES, place de l'enfant

Je compare ce sujet d’une actualité brulante aux volcans dont je distingue deux catégories.

Les « actifs endormis » desquels suintent régulièrement des filets de laves et les « silencieux explosifs » qui, dont on n’entend plus parler durant de longues périodes et desquels surgissent des entrailles gaz et autres matériaux solides.

Tel un vulcanologue qui étudie les différents types de volcans et les zones à risques d'éruption et participe à la compréhension des « entrailles » du volcan je suis dans le cœur de l’humain, dans ce qu’il peut avoir de bon comme de plus aigre. Je suis dans l’intime.

Dans ce genre de dossier, la plaidoirie doit combiner le poids des mots et la nécessaire précision du langage. Être face à des situations où des enfants vivent l’insupportable, l’institution judiciaire apparait être nécessaire quand le bon sens n’apparait pas.

Je ne vois que trop de parent dans le dénigrement de l’autre, voire les deux.

Oui j’assume mon propos oui j’assume également la combativité qu’il faut avoir dans ce cadre-là.

L’apaisement de la situation passe souvent par le placement de l’enfant qui se révèle être salvateur.

Je vous invite afin d’étayer ces propos de lire cette interview faite par Corine SABOUROU, journaliste à l’indépendant paru le lundi 20 septembre 2021.